Ou les familles nettoient les tombes et se recueillent, ou bien paient d’autres pour s’acquitter à leur place de leurs devoirs envers les ancêtres.
L’Etat en profite pour promouvoir des pratiques funéraires plus modernes et durables, pour épargner la terre pour les vivants : enterrement « marin » (cendres versées en mer), « arboricole » (cendres comme engrais d’un arbuste au nom du défunt).
Il tente de faire évoluer les mœurs en décourageant le tombeau de luxe (200.000¥), les pleurs à louer (20.000¥), et les « mariages d’outre-tombe », avec cadavre de jeune femme acheté (20.000¥)…
Sommaire N° 13