ª Au 8 juillet 2008, à un mois des JO, toute centrale à charbon, cimenterie et usine chimique autour de Pékin et dans les six provinces adjacentes, fermera jusqu’au 24/08, fin des Jeux. Shougang, l’aciérie aura coupé son débit de 4Mt. 15.000 vieux bus pékinois et tianjinois seront au rancard.
Au niveau national, les émissions de pluies acides auront baissé de 6%, et celles de COD (pollution de l’eau) de 5%, dit la SEPA (State Environmental Protection Administration). Tel est le plan annuel écologique le plus ambitieux de l’histoire du pays.
ª Dans son combat pour imposer le wushu (kungfu) à l’agenda olympique, la Chine n’a pas tout perdu. Le mois passé, Le VdlC évoquait la tenue d’un tournoi “de démonstration” à Pékin au moment des Jeux, à la manière d’un “festival off”. On apprend aujourd’hui (12/02) que ce dernier se déroulera sous l’égide du Comité Olympique int’l, qui l’a autorisé : antichambre de la reconnaissance !
ª Le 3/02, en Fed Cup (tennis) à Pékin, l’équipe féminine chinoise avait battu la française, 3 victoires à 2. Mais Georges Goven, capitaine de la formation tricolore conteste auprès de la Fédération internationale de Tennis (FIT) : deuxième tenniswoman nationale, Peng Shuai avait quitté la compétition avant la fin, pour prendre l’avion pour l’Open de Paris – se soustrayant alors au contrôle anti-dopage.
Sommaire N° 6