[1] Le service anti-dopage prouve son sérieux : les Jeux des villes chinoises à Wuhan (10 jours, 6000 athlètes), leur fait effectuer 1239 tests d’urine et épingler un cycliste et un wushu’iste, porteurs de traces de stimulants et d’anabolisant.
[2] Comme entraîneuse du onze chinois de football féminin, pour les JO, Elisabeth Loisel (France) remplace Marika Domanski (Suède), remerciée suite à l’échec de ses « Roses d’acier » pour la qualification en finale de la coupe du monde.
[3] Côté logistique, pour la 2de émission de billets par internet, le crash du réseau (6/11) a forcé les organisateurs à se replier sur un système de loterie, qui se passera en un lieu et temps à préciser, pour écouler les 1,85M de places de cette tranche.
Montrée du doigt après cet échec : Gehua-Ticketmaster, la JV sino-US !
[4] En une directive secrète qui a fui hors du Bocog, le ministère de la sécurité publique a dressé la liste des personnes indésirables sur les sites des JO. Il s’agit des terroristes, des membres du Falungong.
[5] Ils sont déjà 3500, les poupons baptisés au doux nom d’奥运 (« Aoyun » –on pourrait traduire par « Jeuzol »). 17 ans plus tôt, quelques milliers déjà, s’étaient retrouvés avec le petit nom de Yayun « Jeuzaz », avant les Jeux Asiatiques de Beijing en 1990 !
Sommaire N° 36