A priori, Gazprom le mammouth russe et Chi-na Gas la souris Hongkongaise ont peu en commun, 20% du GNL mondial et 8% du PIB russe, face au distributeur déficitaire sur le “rocher”… Mais HK peut compter sur sa position statutaire et sa connaissance du terrain chinois -voire, aux yeux des chinois, sur sa petite taille qui rassure.
Le 7/5, les groupes paraphent une déclaration d’intention pour développer des projets de distribution en Chine et faire recapitaliser le 2d par le 1er. Ainsi “boosté”, China Gaz pourrait, dit-on chez Gazprom, prendre jusqu’à 20% du marché urbain chinois, plus qu’il faut pour justifier le gazoduc Kovykta-Chine (cf VdlC n°21, VIII) en négociation.
BP n’est pas loin derrière, comme coproducteur et gestionnaire!
Sommaire N° 18