A la loupe : Quel futur pour les ‘Futures’?

Les milieux professionnels se disent confiants dans l’avenir de la quinzaine de Marchés à terme (Futures) à travers le pays.

Un marché pourtant encore plus instable que celui de la Bourse: trop de spéculation faisant flamber les prix des matières 1ères, très au-delà des cours pratiqués ailleurs dans le monde.

De lourdes pertes en 1994 sur différents métaux à Shanghai, avaient provoqué une intervention de l’Etat, interdisant ou limitant localement de nombreuses transactions –acier, charbon, sucre, pétrole, et certains riz, par exemple. En 1996 par contre, la «forêt» d’interdictions étranglait le marché, sans pour autant enrayer la spéculation. Un an plus tard, sur demande du secteur, le pouvoir a émis un corset de règlements: procédures d’agrément pour les firmes de Futures (dont l’Armée, le Parti et l’Administration, investisseurs traditionnels, se voient bannis), limites d’achats par rapport au capital, fermeture des marchés 24 h en cas de gains ou pertes trop «pointues»…

Ces procédures macro-économiques calquées sur la norme internationale, étant appelées à remplacer les interdictions locales et saisonnières!

 

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